Petit essai...

Voilà un petit texte que j'avais écris quand je n'avais encore que 15 ans, qu'en pensez-vous honnêtement :

Le premier choc fut brutal. Les hommes furent projetés à terre, comme se fut le cas de Elrikas, un jeune forgeron d’une quinzaine d’années. Il roula et se releva la peur brillait dans ces yeux, ses mains tremblaient de toute part, mais ce fut l’instinct de survie qui pris le commandement de son corps. Il trancha dans le tas, frappant au hasard. Les cadavres tombèrent autour de lui. D’un geste il jeta le casque trop grand qu’on lui avait donné, laissant retombé ses longs cheveux brun sur ses épaule. Il n’était pas un soldat, pas un homme de guerre, mais encore un enfant qui avait été projeté dans le feu de la guerre pour protégé sa famille et tout ce qui lui rattachait. Un homme leva sa hache devant lui et sans réfléchir il lui enfonça son glaive dans le ventre, évitant de justesse un coup d’estoc vers son visage, revoyant à son attaquant un coup de tête avant de l’achever à terre. L’homme cracha du sang, son corps fut encore agiter de quelques soubresaut avant de l’immobiliser. Les cris des mourants et de l’acier résonnaient autour de lui, jouant leur mélodie macabre dans une communion parfaite. Elrikas se retourna, un homme et armure noire lui faisait face dans le chaos de la bataille. Il était plutôt grand, son heaume étincelait. Se n'était pas un de ses brute du nord, c’était un soldat Ceamir, mais pas n’importe le quel. Il faisait partis de l’élite, un homme n’aillant aucune peur, résistant à toute les douleurs, entraîné au-delà de ses limites depuis son plus jeune âge. Ces soldats ce faisait appeler « Les Fléau ». Il était la fierté de Tarosmor, leur roi, et de leur nation entière. Leur royaume n’avait pas guerrier plus féroces, il faisait n’aître la peur partout autour d’eux. Il était puissance, bien plus qu’un simple forgeron de 15 ans aillant été entraîné sur le tas pendant deux semaines, pensa Elrikas. La mort était proche…
Le soldat Ceamir venait de gagner sa première bataille en Valaric, il y avait instauré plus que la peur, mais la terreur, une arme encore plus tranchante que l’épée. Il s’approcha de l’adolescent un sourire dessiné sur ces lèvres. Le jeune homme se mit dans la position de défense que lui avait enseigné le maître d’arme durant l’entraînement. Bras tendu… Epée droite… Poids sur la jambe avant… son corps et son âme tremblait de toute part. Le guerrier continua son chemin vers lui, tuant au passage un soldat qui traversa sa route. Dans un cri de douleur l’homme tomba, et agonisa lentement. Un enfant plus jeune que lui pleurait à sa droite, récitant une prière en l’honneur de Fôr, le dieu du destin, l’implorant de le protégé, mais une flèche vint stoppé ses paroles à jamais, se figeant dans sa gorge. « Le Fléau » était à quelques pas de lui quand il remarqua sa présence, pendant quelques instants il avait été absent, perdu dans ses pensées, en plein milieu d’un champ de bataille cela pouvait être fatal à tout moment. Il était retourné dans son petit village brumeux de montagne, voyant sa mère préparer le repas, sa petite sœur jouant sur le sol avec un petit homme en bois qu’il avait lui-même sculpté quelques mois au paravent. La tombe de son père, mort quelques années plus tôt dans la guerre des Rhiraks, près de la petite forêt qui ornait le temple. Dont le prêtre lui avait conté l’histoire des dieux. La minuscule forge où lui avait enseigné Seilas tout son savoir et les manières de traiter le métal, il aimait beaucoup ce qui faisait, il y mettait beaucoup de son amour et de sa passion. Non, il ne voulait pas mourir, trop de chose le rattachait à la vie. La colère monta en lui. Il lui trouva un exutoire en attaquant le guerrier vêtu de noir, dans un accès de folie. L’homme para le coup avec facilité et ce mis à rire. Ce qui décupla la folie de Valaric, il voulait vivre mais la mort était venue le chercher et par dessus tout riait. Il frappa de plus belle avec plus de puissance et rapidité mais le soldat bloquait absolument toute avec une aisance remarquable. C'était un jeux pour lui, presque un amusement. Puis le coups fatidique arriva. Elrikas ne le perçu qu'au dernier moment, la lame du soldat avait glissé sous la sienne est dans une terrible douleur avait traversé son coeur. Elrikas glissa, seffondra. Il ne sentait plus aucune sensation, n'entendait plus aucun bruit. Son regard se porta une dernière fois vers le ciel bleu et calme, avant que ses yeux s'embuèrent et que la lumière l'enveloppa.

Désolé pour les fautes d'orthographes

Oui y'a des fautes lol
Par contre, 15 ans et forgeron... Hum, je dirait apprentit encore à cet âge

Bien sur, il y a des fautes comme le dit Daenerys mais je trouve ça quand même pas mal. Moi aussi j'écris et j'ai beaucoup du mal a décrire les scènes de bataille. Je trouve que tu te débrouille trés bien. Cela fait trés réaliste, on s'y croirait presque. J'ai juste deux questions:
1) Est-ce Elrikas est mort?
2) Est-ce que tu publiras une suite?

C'est vrai, il y a des fautes d'ortographes lol, je n'avait que 15 ans à l'époque.
Merci en tout cas pour les commentaires . Alors pour résumer comme je l'ais dis, je n'avais que 15 ans et j'ai du écrire celà pendant un cours ou une heure d'étude. En ce temps j'aimais bien écrire des morceaux d'histoire au hasard sans prétention aucune d'écrire un roman, c'était selon mon humeur. Donc il n'y a j'amais eu de suite et aujourd'hui je ne sais pas car je suis encore sur un projet d'histoire.
Je pense que voyant l'heure de la sonnerie arrivée et ne voyant pas comment le petit Elrikas pouvait s'en sortir contre un soldat d'élite au milieu d'une bataille perdue, il ne pouvait que payer le prix fort et mourir

J'imagine trés bien, je ne compte plus le nombre d'histoire que j'ai écrit en permanance et qui ont terminée au fond d'une poubelle (ou dans un classeur de cour pour les plus chanceux). J'en ai encore quelques uns, mais je regrette d'avoir perdue la plupart. En tou cas c'est bien triste pour le pauvre Elrikas que la sonnerie ait sonné si tôt... Mais j'espère quand même que tous tes héros ne finissent pas de la même façon, ça serait un peu triste, non ?
En tout cas, j'aime vraiment comment tu écris... et tu avais 15 ans à l'époque, qu'est-ce que ça doit être maintenant... !!! (Euh, là je m'emballe... J'suis pas beaucoup plus vieille lol)

Pour avancer, pas de mystères toujours se remettre en question et ne pas s'endormir sur ses lauriers

Je dirais qu'on sent bien la quinzaine d'années dans ton texte
Mon avis n'est que personnel bien sur ^^ , je trouve l'écriture plutot classique dans le thème abordé, rien de révolutionnaire sans pour autant être mal écrit

Disons qu'effectivement les textes que j'écrivais à l'époque ressemblent beaucoup à ce même texte. Disons que c'est assez facile d'écrire comme ça sur l'instant j'ai appris que pour arriver à obtenir quelquechose qui vraiment pourrait me plaire à moi même, à lire, il faut beaucoup de recherche, avec au préalable un travail monumental sur le monde les personnages. Un travail vraiment minutieux quoi :p Et apres une fois le monde mis en place les personnages, les races, s'il y en a besoin etc... Là on peut commencer a faire des ébauches d'histoire en essayant de travailler le texte et faire des effets et figure de style
Après pour faire une nouvelle intérressante moi me faudrait vraiment quelquechose qui accroche :p
Et je pense personnelement qu'il doit y avoir très peu de personnes qui sont capable d'un coup de stylo, d'écrire un texte qui en jète hihi !!!

Enfin tout ça est un avis personnel d'après observations et ce que j'ai pu en apprendre :p mais comme le dis Thomas (Platy) c'est pas si mal car y'en a qui écrivent vachement plus mal MDR, comme on pourrait le dire; c'est un début ^^ et il y a un début a tout

Oui c'est clair la façon d'écrire est très classique, même si j'ai un peu évolué depuis le temps (4 ans ce sont quand même écoulé, sa nous rajeunis pas ) Il est vrai que l'écriture évolue beaucoup si on lit ou écrit régulièrement... Il y a pas de magie !!!